Difference between revisions of "Salomée Trudel"

MyWikiBiz, Author Your Legacy — Sunday December 22, 2024
Jump to navigationJump to search
 
Line 9: Line 9:
  
 
Salomée Trudel est née à Colonge-Bellerive à Genève en Suisse, de père Québecois et de mère Californienne qui se sont rencontrés lors d’un voyage de randonnée autour d’Europe. Elle est l’ainée de sept enfants. Grâce à ses parents qui voyageaient beaucoup, Salomée à eu la chance de vivre dans un monde sans frontières et une éducation multiculturelle. Elle a pendant son enfance vécu dans plusieurs pays d’Europe, en Asie et au États Unis, et c’est pour cette raison que sa scolarité s’est faite par correspondance pour la plus grande partie de son enfance avec l’aide de ses parents qui étaient ses seuls tuteurs. Elle a cependant fait les dernières années de son cycle primaire à l’école Saint Charles à Duvernay. À son retour à Montréal, elle a dû consacrer quelques années à ses études afin de correspondre aux critères d’éducation du ministère Québécois. Salomé considère que la vraie “école” c’est la vie, les gens qui vivent sur cette planète et qui partagent leur sagesse et expériences, les cultures différentes, la nourriture, les odeurs, et les idéologies. Son éducation, son côté entrepreneurial, sa curiosité et son ouverture d’esprit, prennent leurs racines dans ses voyages et non dans les livres d’écoles. Son côté créatif inné est le fruit de son exposition aux différentes cultures dans lesquelles elle a pu grandir et vivre. À son retour à Montréal en 1998, elle a pu se rendre compte comme tant d’autres qui ont eu une vie multinationale, de la diversité de cette ville. C’est pour cette raison qu’elle décide de s’y installer et y vis principalement aujourd’hui.
 
Salomée Trudel est née à Colonge-Bellerive à Genève en Suisse, de père Québecois et de mère Californienne qui se sont rencontrés lors d’un voyage de randonnée autour d’Europe. Elle est l’ainée de sept enfants. Grâce à ses parents qui voyageaient beaucoup, Salomée à eu la chance de vivre dans un monde sans frontières et une éducation multiculturelle. Elle a pendant son enfance vécu dans plusieurs pays d’Europe, en Asie et au États Unis, et c’est pour cette raison que sa scolarité s’est faite par correspondance pour la plus grande partie de son enfance avec l’aide de ses parents qui étaient ses seuls tuteurs. Elle a cependant fait les dernières années de son cycle primaire à l’école Saint Charles à Duvernay. À son retour à Montréal, elle a dû consacrer quelques années à ses études afin de correspondre aux critères d’éducation du ministère Québécois. Salomé considère que la vraie “école” c’est la vie, les gens qui vivent sur cette planète et qui partagent leur sagesse et expériences, les cultures différentes, la nourriture, les odeurs, et les idéologies. Son éducation, son côté entrepreneurial, sa curiosité et son ouverture d’esprit, prennent leurs racines dans ses voyages et non dans les livres d’écoles. Son côté créatif inné est le fruit de son exposition aux différentes cultures dans lesquelles elle a pu grandir et vivre. À son retour à Montréal en 1998, elle a pu se rendre compte comme tant d’autres qui ont eu une vie multinationale, de la diversité de cette ville. C’est pour cette raison qu’elle décide de s’y installer et y vis principalement aujourd’hui.
Education
+
 
 +
 
 +
== Education ==
  
 
Après son éducation primaire internationale par correspondance, Salomé suit une formation de maquillage professionnel chez Summum Beauté International sur la rive sud de Montréal, ainsi q’une formation de Hatha yoga avec Hervé Blondon de l’école Satyam. Elle complète aussi un certificat en relations publiques du Conservatoire Lasalle sur la rue Sherbrooke de Montréal. Elle suit présentement un cours de l’école NASM aux États Unis pour obtenir une certification d’entraineuse professionnelle et cela dans le but d’approfondir ses connaissances de l’entraînement, sa relation avec le corps physique et la santé.
 
Après son éducation primaire internationale par correspondance, Salomé suit une formation de maquillage professionnel chez Summum Beauté International sur la rive sud de Montréal, ainsi q’une formation de Hatha yoga avec Hervé Blondon de l’école Satyam. Elle complète aussi un certificat en relations publiques du Conservatoire Lasalle sur la rue Sherbrooke de Montréal. Elle suit présentement un cours de l’école NASM aux États Unis pour obtenir une certification d’entraineuse professionnelle et cela dans le but d’approfondir ses connaissances de l’entraînement, sa relation avec le corps physique et la santé.
Line 15: Line 17:
  
 
== Carrière ==
 
== Carrière ==
 
  
 
La vie professionnelle de Salomée montre qu’elle a un penchant pour la créativité, l’art, le contact avec les gens et une certaine liberté quant à la gestion de son travail. À vingt ans, elle décide de travailler en tant que travailleuse autonome dans le monde du maquillage artistique et est maintenant reconnue comme étant une maquilleuse professionnelle de talent. Elle décroche dès ses débuts des contrats pour défilés de mode, de séances de prise de photos et de production télévisée pour diverses chaînes. Un de ses premiers contrats était de maquiller Maxime Roy et Patrick L’Abbé pour un documentaire. Son plus gros client est la chaine de télévision Radio des Sports, grâce auquel elle a pu toucher au visage de nombreuses célébrités comme Jacques Demers, Yvan Ponton et Chantal Machabée. Elle travaille aussi avec de nombreux sportifs, dont les joueurs de l’équipe de Hockey Canadienne, ainsi que les champions Olympiques Canadiens Alexandre Bilodeau, André Agassi et d’autres. Son investissement dans le monde de la télévision a beaucoup été influencé par son père, qui était producteur de musique. Attachée à lui, elle a passé beaucoup de temps en sa compagnie sur des plateaux de tournages, des soupers d’amis, des weekends au travail, etc. Elle a bénéficié à travers cette relation proche de la présence d’artistes dans sa vie et une ambience qui tire ses décors de la scène musicale et des arrières plans de production.
 
La vie professionnelle de Salomée montre qu’elle a un penchant pour la créativité, l’art, le contact avec les gens et une certaine liberté quant à la gestion de son travail. À vingt ans, elle décide de travailler en tant que travailleuse autonome dans le monde du maquillage artistique et est maintenant reconnue comme étant une maquilleuse professionnelle de talent. Elle décroche dès ses débuts des contrats pour défilés de mode, de séances de prise de photos et de production télévisée pour diverses chaînes. Un de ses premiers contrats était de maquiller Maxime Roy et Patrick L’Abbé pour un documentaire. Son plus gros client est la chaine de télévision Radio des Sports, grâce auquel elle a pu toucher au visage de nombreuses célébrités comme Jacques Demers, Yvan Ponton et Chantal Machabée. Elle travaille aussi avec de nombreux sportifs, dont les joueurs de l’équipe de Hockey Canadienne, ainsi que les champions Olympiques Canadiens Alexandre Bilodeau, André Agassi et d’autres. Son investissement dans le monde de la télévision a beaucoup été influencé par son père, qui était producteur de musique. Attachée à lui, elle a passé beaucoup de temps en sa compagnie sur des plateaux de tournages, des soupers d’amis, des weekends au travail, etc. Elle a bénéficié à travers cette relation proche de la présence d’artistes dans sa vie et une ambience qui tire ses décors de la scène musicale et des arrières plans de production.
Line 23: Line 24:
  
 
== Ballari ==
 
== Ballari ==
 
  
 
Très jeune, Salomé rêvait d’être ballerine et d’avoir une vie de danseuse pour laquelle elle savait être née. Malheureusement, avec tant de déplacements et de déménagements, des parents peu fortunés et toujours absents, elle n’a pas eu la chance de poursuivre ce rêve. Le Yoga, découvert beaucoup plus tard dans sa vie, lui rappelle à quel point elle chérissait le mouvement du corps, qui lui permet de ressentir, d’exprimer et de se reconnecter avec le monde. C’est ainsi que le Yoga devient une révélation pour elle. C’est pour cette raison là qu’elle décide de devenir professeure de Yoga et suit des cours avec Hervé Blondon de l’école Satyam de Montréal. Cette discipline change sa vie et lui permet de découvrir de nouvelles passions en la mettant en relation avec sa carrière dans l’esthétisme féminin. C’est de ce sentiment de bien-être et d’amour pour le corps qu’est né Ballari, une compagnie de bijoux féminins pour pieds, qu’elle crée en Juin 2011.
 
Très jeune, Salomé rêvait d’être ballerine et d’avoir une vie de danseuse pour laquelle elle savait être née. Malheureusement, avec tant de déplacements et de déménagements, des parents peu fortunés et toujours absents, elle n’a pas eu la chance de poursuivre ce rêve. Le Yoga, découvert beaucoup plus tard dans sa vie, lui rappelle à quel point elle chérissait le mouvement du corps, qui lui permet de ressentir, d’exprimer et de se reconnecter avec le monde. C’est ainsi que le Yoga devient une révélation pour elle. C’est pour cette raison là qu’elle décide de devenir professeure de Yoga et suit des cours avec Hervé Blondon de l’école Satyam de Montréal. Cette discipline change sa vie et lui permet de découvrir de nouvelles passions en la mettant en relation avec sa carrière dans l’esthétisme féminin. C’est de ce sentiment de bien-être et d’amour pour le corps qu’est né Ballari, une compagnie de bijoux féminins pour pieds, qu’elle crée en Juin 2011.

Latest revision as of 06:50, 6 October 2014


Salomée Trudel est une maquilleuse entrepreneure du Québec.


Enfance

Salomée Trudel est née à Colonge-Bellerive à Genève en Suisse, de père Québecois et de mère Californienne qui se sont rencontrés lors d’un voyage de randonnée autour d’Europe. Elle est l’ainée de sept enfants. Grâce à ses parents qui voyageaient beaucoup, Salomée à eu la chance de vivre dans un monde sans frontières et une éducation multiculturelle. Elle a pendant son enfance vécu dans plusieurs pays d’Europe, en Asie et au États Unis, et c’est pour cette raison que sa scolarité s’est faite par correspondance pour la plus grande partie de son enfance avec l’aide de ses parents qui étaient ses seuls tuteurs. Elle a cependant fait les dernières années de son cycle primaire à l’école Saint Charles à Duvernay. À son retour à Montréal, elle a dû consacrer quelques années à ses études afin de correspondre aux critères d’éducation du ministère Québécois. Salomé considère que la vraie “école” c’est la vie, les gens qui vivent sur cette planète et qui partagent leur sagesse et expériences, les cultures différentes, la nourriture, les odeurs, et les idéologies. Son éducation, son côté entrepreneurial, sa curiosité et son ouverture d’esprit, prennent leurs racines dans ses voyages et non dans les livres d’écoles. Son côté créatif inné est le fruit de son exposition aux différentes cultures dans lesquelles elle a pu grandir et vivre. À son retour à Montréal en 1998, elle a pu se rendre compte comme tant d’autres qui ont eu une vie multinationale, de la diversité de cette ville. C’est pour cette raison qu’elle décide de s’y installer et y vis principalement aujourd’hui.


Education

Après son éducation primaire internationale par correspondance, Salomé suit une formation de maquillage professionnel chez Summum Beauté International sur la rive sud de Montréal, ainsi q’une formation de Hatha yoga avec Hervé Blondon de l’école Satyam. Elle complète aussi un certificat en relations publiques du Conservatoire Lasalle sur la rue Sherbrooke de Montréal. Elle suit présentement un cours de l’école NASM aux États Unis pour obtenir une certification d’entraineuse professionnelle et cela dans le but d’approfondir ses connaissances de l’entraînement, sa relation avec le corps physique et la santé.


Carrière

La vie professionnelle de Salomée montre qu’elle a un penchant pour la créativité, l’art, le contact avec les gens et une certaine liberté quant à la gestion de son travail. À vingt ans, elle décide de travailler en tant que travailleuse autonome dans le monde du maquillage artistique et est maintenant reconnue comme étant une maquilleuse professionnelle de talent. Elle décroche dès ses débuts des contrats pour défilés de mode, de séances de prise de photos et de production télévisée pour diverses chaînes. Un de ses premiers contrats était de maquiller Maxime Roy et Patrick L’Abbé pour un documentaire. Son plus gros client est la chaine de télévision Radio des Sports, grâce auquel elle a pu toucher au visage de nombreuses célébrités comme Jacques Demers, Yvan Ponton et Chantal Machabée. Elle travaille aussi avec de nombreux sportifs, dont les joueurs de l’équipe de Hockey Canadienne, ainsi que les champions Olympiques Canadiens Alexandre Bilodeau, André Agassi et d’autres. Son investissement dans le monde de la télévision a beaucoup été influencé par son père, qui était producteur de musique. Attachée à lui, elle a passé beaucoup de temps en sa compagnie sur des plateaux de tournages, des soupers d’amis, des weekends au travail, etc. Elle a bénéficié à travers cette relation proche de la présence d’artistes dans sa vie et une ambience qui tire ses décors de la scène musicale et des arrières plans de production.

Sa carrière en tant que maquilleuse lui a permis de créer ce qu’elle visualisait quand elle regardait des visages. Elle découvre ainsi une liberté d’expression et de tracer sa propre vie. Cependant, ce qui lui donne un vrai sentiment d’accomplissement est de participer à l’amélioration de la beauté féminine. Comme elle le dit elle-même, elle aime rendre les femmes belles. Elle souhaite rendre leur vie plus facile grâce à un sentiment de bien-être externe et interne, et les accompagner dans leurs moments importants, tels que les mariages, les premières rencontres avec un amoureux, les divorces et les séparations, les bals de finissant, les cancers et autres maladies. Le seul sentiment réel de satisfaction pour elle dans ce domaine vient du fait d’accomplir ce que sa cliente lui demande et comprendre le bonheur dans ses yeux quand elle voit le résultat final. Elle participe à donner aux femmes une confiance en elles, et travaille avec elles sur un plan de bonheur physique qui alimente un bonheur spirituel.


Ballari

Très jeune, Salomé rêvait d’être ballerine et d’avoir une vie de danseuse pour laquelle elle savait être née. Malheureusement, avec tant de déplacements et de déménagements, des parents peu fortunés et toujours absents, elle n’a pas eu la chance de poursuivre ce rêve. Le Yoga, découvert beaucoup plus tard dans sa vie, lui rappelle à quel point elle chérissait le mouvement du corps, qui lui permet de ressentir, d’exprimer et de se reconnecter avec le monde. C’est ainsi que le Yoga devient une révélation pour elle. C’est pour cette raison là qu’elle décide de devenir professeure de Yoga et suit des cours avec Hervé Blondon de l’école Satyam de Montréal. Cette discipline change sa vie et lui permet de découvrir de nouvelles passions en la mettant en relation avec sa carrière dans l’esthétisme féminin. C’est de ce sentiment de bien-être et d’amour pour le corps qu’est né Ballari, une compagnie de bijoux féminins pour pieds, qu’elle crée en Juin 2011.

Ballari est l’expression de toutes les facettes qui caractérisent Salomée; son éducation multiculturelle et son amour pour la beauté et le corps. En effet, l’objectif principal de Ballari est de mettre en avant la beauté féminine pour susciter chez la femme qui le porte un bien être interne et une force spirituelle qui se reflète dans les situations où elle se retrouve nu-pieds. Que ce soit pour le Yoga, le ballet, la plage ou chez soi, Ballari reconnecte la femme à son état primitif dans sa relation avec la nature. L’inspiration de laquelle les designs de Ballari sont nés tire ses origines d’anciennes légendes Sud-Asiatiques et Est-Africaines, dans lesquelles il est question d’un monde en révolution autour de la force féminine.

L’idée de Ballari est venu à Salomée lors d’un cours de Yoga, alors qu’elle ressentait un élan de gratitude pour son corps qui la soutenait. Voulant ajouter une touche d’esthétisme, elle imagine un accessoire qui est entre la chaussure et le bijou, mais qui n’a pas de semelle. Surtout, elle voulait conserver le sentiment de liberté qu’elle ressentait dans son contact avec le sol. Elle avait en tête l’image de femmes marchant pieds-nus dans l’argile riche et mouillé, et puisant ses nutriments à travers leur corps comme une plante. Elle voulait ramener à elle cette culture des îles d’outremer.

Aujourd’hui, Ballari est fait par de telles femmes, venant de telles îles. À travers leurs mains, se matérialise cette culture de la terre qu’elles ont hérité de leurs ancêtres. Ballari est avant tout un commerce équitable. Grâce au travail qu’il procure à ces femmes, elles ont le pouvoir de rester chez elles et vivre indépendantes avec leurs enfants.